Production

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pépinière OLIVIers
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Via di Campolasso, 43 - 51017 Pescia (PT)
 

Notre production

À Pescia (Italie - Toscana), on produit presque le 80% du total des  plantes d'olivier italiennes.

La raison de  cet heureux record réside aussi bien  en des  facteurs historiques qu’en des raisons  climatiques, qui dans le cours du temps se sont consolidés stratégiquement.

Aujourd'hui, probablement, le facteur fondamental du succès est la présence d'un arrondissement  très spécialisé qui a fait recours à l’externalisation des phases du procès productif à des entreprises très spécialisées.

À Pescia, les producteurs d'olivier se sont construit  une renommée surtout en ce qui concerne la culture de l'olivier greffé, tout cela  déjà  à partir du 1875.

De cette façon on a assuré une production de qualité avec des plantes résistantes et tenaces par rapport au milieu ambiant, grậce justement à l'âme d'Olivo Sauvage qui  continue « à vivre » en elles.

Même si les oliviers greffés sont le coeur de la production, on n’a pas renoncé à la simple reproduction du bouture.

Dans quelques aires géographiques d'accueil il existe une  préférence marquée pour ce type de production. 

Évidemment il s'agit d'une méthode de reproduction plus « économique » dans laquelle il faut  évaluer l'écosystème de destination des plantes surtout sous le point de vue climatologique;

Le nombre élevé  de cultivar, le fort besoin  d’un soin continu avec un monitorage constant de la plante par rapport à ses adversités  rendent difficile dans une pépinière générique le procès de  la reproduction des plantes d'olivier. Celle-ci  reste donc  une production spécialisée ou de créneau. Il faut avoir  une « culture » bien fondée sur ce sujet et de tenir compte de la  qualité pour s’adonner à un métier qui demande constance, passion et ténacité;

L'apparition des systèmes d'irrigation automatisés et les avantages de la gestion dehors terre ont décrété la fin de l'olivier élevé à terre.

Aujourd'hui la production est totalement dehors terre avec tous les avantages qui en dérivent : manipulation et logistique, garantie enracinement et la réduction du traumatisme pour la plante.

Au cours de ces derniers dix ans le marché des oliviers a beaucoup changé par effet d'une série de phénomènes qui ont pesé fortement sur sa physionomie:

1)Epuisement progressif des aides à la constitution et  rénouvellement  ;

2) Culture croissante de la demande;

3) Redécouverte des cultivars autochtones;

4) L'amour pour la nature;

Utilisation ornementale des oliviers;

Un autre phénomène a été celui de la récupération de la  valence ornementale de l'Olivier , surtout en des  régions où la plante n'est pas normalement présente. Ce phénomène, qui pourrait ệtre  positif d’un cộté, de l'autre a porté à des exaspérations absurdes comme la recherche des oliviers séculaire à installer dans le jardin de propriété comme  status symbol.

La commercialisation d'Oliviers séculaires est devenue une pratique très étendue, peu importe si on extirpe une plante de cinq cents, mille ou deux milles ans.  Ce qui compte c’est de  gagner de l'argent, en oubliant qu ainsi faisant on risque de tuer un véritable monument historique.

Qui reçoit l'olivier prend une plante mutilée pour exigences de transport, une plante souffrante avec des vastes portions de bois décédées.

Dans les années suivantes, bien que  la plante  ne sèche pas, elle est de toute façon destinée à survivre avec fatigue.

Sous  ce point de vue notre souhaitons que la culture  change un peu. Mieux croître une petite plante affectueusement que sacrifier un être vivant de ces proportions sur l'autel de sa vanité.

La production d'oliviers à Pescia a manifesté depuis son début le record de l'olivier de deux ans (considéré de taille optimale par rapport  à plusieurs éléments: manipulation, prix unitaire, résistance, précocité productive).

Pendant  les années '70 les oliviers étaient élevés à terre et enlevés à l'instant de l'ordre du client en renfermant le « pain » à l'intérieur d'une enveloppe en paille, avec un résultat final à « bonbon ».
L'élevage à terre rendait «fragile» la plante autrefois levée, en limitait en outre la saison de vente avant la période d'arrêt biologique d'hiver.

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